Cette article est un interview de Loïk Le Flock-Prigent, ancien président d'Elf, de Gaz de France et de la SNCF recueilli par Emmanuel Lévy du journal Marianne.
En quelques lignes, Mr Le Flock-Prigent fait le déni que les déboires actuels de General Electric sont uniquement liés à l'achat d'Alstom. L'activité dans l'hydraulique existe puisque les concurrents directs ont leur carnet de commande rempli. C'est General Electric qui a délaissé cette activité. Pour lui, tout n'est pas terminé et il faut que la France trouve des repreneurs à GE si celle-ci en cherche.
Avis aux industriels français avec une stratégie industrielle et non financières ?
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